Amethis prépare le premier closing de son nouveau fonds centré sur l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient

(Agence Ecofin) – Le capital-investisseur Amethis a l’intention de réaliser la première clôture de son véhicule Mena Fund II centré sur l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. L’opération annoncée pour le premier trimestre 2021 a déjà suscité l’intérêt de la BERD et de la BEI.

Amethis, le gestionnaire de fonds d’investissement dédié au continent africain prépare la première opération de levée de fonds de son nouveau véhicule d’investissement, Amethis Mena Fund II. Ce premier closing est annoncé pour le premier trimestre 2021.

Deux institutions financières internationales ont déjà signifié leur intention d’investir dans ce véhicule qui cible des entreprises de taille intermédiaire et des PME en forte croissance dans la zone Mena (Moyen-Orient et Afrique du Nord).

Il s’agit de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), et de la Banque européenne d’investissement (BEI). La première attend la décision de son conseil d’administration d’ici février 2021 pour réaliser une prise de participation d’un montant maximal de 20 millions d’euros. La BEI a quant à elle décidé d’approuver une mise du même montant au sein d’Amethis Mena Fund II.

Le fonds espère mobiliser un montant global de 150 millions d’euros lors de sa clôture finale. Il investira entre 10 et 50 millions d’euros dans une diversité de secteurs et d’entreprises avec l’ambition d’en faire des champions régionaux.

Rappelons qu’Amethis fondé par Luc Rigouzzo et Laurent Demey a sous sa gestion plusieurs véhicules d’investissement centrés sur l’Afrique du Nord et d’autres régions du continent.

Chamberline Moko

window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));

by : Kelly Chamberline MOKO

Source link

Capital Media

Read Previous

Orange Digital Center et la GIZ propulsent les talents numériques

Read Next

why conspiracists are ‘meh’ about the phenomenon — and how you can start a better conspiracy