(Agence Ecofin) – Malgré des sanctions financières multiples à l’encontre des opérateurs au fil des ans, la mauvaise qualité de service télécoms perdure en Algérie. Avec la portabilité des numéros, le ministère des Télécoms veut accentuer la pression en s’attaquant directement à leur source de revenus.
D’ici la fin de l’année, il est donc fort probable que les Algériens puissent changer d’opérateur télécoms sans pour autant changer de carte SIM et de numéro de téléphone. Le projet de décret relatif à l’introduction de la portabilité des numéros mobiles en Algérie est en cours de finalisation. Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Brahim Boumzar, l’a révélé le mardi 12 janvier.
« Le décret relatif à la portabilité des numéros est en cours de finalisation. La première mouture est déjà soumise à l’appréciation du régulateur, l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques, puis elle sera transmise au secrétariat général du gouvernement », a expliqué le patron du secteur télécoms national.
Cela fait deux ans que les Algériens attendent la portabilité des numéros mobiles, contenue dans les dispositions (chapitre 1, section 2) de la loi sur la poste et les communications électroniques promulguée le 10 mai 2018. L’accélération de sa mise en œuvre vise à donner le pouvoir aux consommateurs qui ne cessent de se plaindre de la mauvaise qualité de service.
De peur de perdre des abonnés au profit de la concurrence, l’Arpce est confiante que la portabilité incitera les opérateurs télécoms à investir davantage dans la modernisation et l’extension de leur réseau. Les sanctions pécuniaires, longtemps privilégiées par le passé, se sont révélées inefficaces. Ils représentent généralement moins de 10% des revenus financiers générés par les activités télécoms.
Muriel Edjo
Lire aussi:
11/12/2012 – Algérie : un vide juridique empêche la portabilité des numéros mobiles
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Muriel EDJO
Source link
