Après le Mali et l’Ouganda, l’assureur agricole Oko lève 1,2 million $ et cible la Côte d’Ivoire

(Agence Ecofin) – L’insurtech Oko amorce une nouvelle phase de sa croissance. La société qui a indemnisé 1000 agriculteurs en 2020 au Mali compte étendre ses solutions d’assurance dans l’ouest du continent.

La société de micro-assurance Oko qui opère actuellement en Ouganda et au Mali a obtenu un financement de démarrage de 1,2 million $ qui servira à renforcer sa présence dans ses deux marchés d’Afrique subsaharienne, et à s’étendre vers de nouveaux territoires, commençant par la Côte d’Ivoire. La société de capital-risque Newfund et le fonds d’investissement ResiliAnce ont dirigé cette levée de fonds, assistés par quatre autres investisseurs.

« L’agriculture est de loin la plus grande source d’occupation en Afrique, avec environ 33 millions de fermes. Et pourtant, les agriculteurs sont privés des services financiers de base comme les assurances et les prêts », déplore Simon Schwall, fondateur d’Oko.

L’insurtech qui permet à des exploitants agricoles d’assurer leurs productions contre des catastrophes naturelles, principalement des inondations et la sécheresse, revendique environ 7000 clients au Mali et affirme avoir indemnisé plus de 1000 agriculteurs touchés par des inondations, l’année dernière.

En 2019, Oko a conclu un partenariat de 3 ans avec Allianz afin de concevoir des produits d’assurance avec l’avantage d’indemniser automatiquement des agriculteurs sur leurs mobiles, ce en consultant des données et images satellitaires.

La start-up qui poursuit son développement sur le continent s’est lancée à la recherche de partenaires, qu’il s’agisse d’agro-industriels ou d’opérateurs pour étendre ses solutions aux agriculteurs. « Nous avons prouvé que notre solution fonctionne et répond à un besoin fort. Maintenant, nous devons évoluer », a laissé entendre Simon Schwall.

Chamberline Moko           

window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));

by : Kelly Chamberline MOKO

Source link

Capital Media

Read Previous

Les écoles togolaises bientôt connectées à Internet par Unicef et l’UIT

Read Next

Satellites reveal ocean currents are getting stronger, with potentially significant implications for climate change

%d bloggers like this: