La start-up Andela lève 200 millions $ pour étendre son offre d’ingénieurs technologiques

(Agence Ecofin) – Andela réalise sa plus importante levée de fonds depuis sa création en 2014. Après avoir réduit son effectif de près de 400 ingénieurs africains en 2019, elle annonce de nouveaux projets sur le continent.

Andela, la start-up américaine qui recrute, forme et place des développeurs de logiciels africains auprès d’entreprises technologiques à l’international, a levé un financement de série E, d’un montant de 200 millions $.

L’opération dirigée par la holding japonaise SoftBank valorise l’entreprise à 1,5 milliard $, et en fait une licorne engagée en Afrique et ayant constitué un réseau d’ingénieurs de plus de 80 pays. Ce financement représente le plus gros montant mobilisé par Andela depuis sa création à Lagos au Nigeria en 2014.

Avant cette opération, la start-up dirigée et cofondée par Jeremy Johnson avait mobilisé, en janvier 2019, 100 millions $ auprès d’un consortium de fonds d’investissement, ce qui portait les financements de l’entreprise à 180 millions $. La récente levée de fonds lui permet d’atteindre un total de 380 millions $.

« Andela investira dans le développement de produits pour simplifier le recrutement au niveau mondial et faciliter la vie des ingénieurs. En outre, l’entreprise continuera d’étendre son offre d’ingénieurs au-delà du développement de logiciels pour inclure de nouveaux secteurs verticaux, tels que la conception et les données », a-t-elle précisé.

A ses débuts, Andela s’était engagée à former des développeurs juniors dans plusieurs villes africaines pour ensuite les placer dans des entreprises en démarrage aux Etats-Unis. La stratégie a été revue en 2019, avec le licenciement de près de 400 ingénieurs codeurs juniors au Kenya, au Nigeria et en Ouganda.

Malgré cet épisode, la start-up affirme avoir placé « des milliers d’ingénieurs dans des entreprises technologiques de premier plan ». Elle prévoit d’en recruter de plus expérimentés et de les placer dans plus de 100 pays, d’ici fin 2021.

Chamberline Moko

window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));

by : Kelly Chamberline MOKO

Source link

Capital Media

Read Previous

Orange Côte d’Ivoire accompagne les réflexions autour de « l’Afrique augmentée »

Read Next

Rate for : AUSTRALIA