(Agence Ecofin) – Après l’entame du processus de rachat de l’actif hôtelier kényan Crowne Plaza, fin juillet dernier, la plateforme d’investissement Kasada obtient le feu vert du régulateur kényan qui marque son accord pour cette opération.
L’Autorité de concurrence du Kenya (Competition Authority of Kenya) a marqué son accord pour l’opération de rachat de l’hôtel kényan, Crowne Plaza, par Kasada Capital Management, ont indiqué plusieurs médias locaux qui citent un avis publié récemment par l’institution.
Cette approbation fait suite à l’entame du processus de rachat de l’hôtel, le 28 juillet dernier. Via son premier fonds d’investissement, Kasada Hospitality Fund, Kasada Capital Management avait en effet proposé d’acquérir Crowne Plaza auprès de l’entité kényane Golden Jubilee Limited.
L’opération estimée à environ 38 millions $ marque la première incursion du groupe Kasada dans le secteur hôtelier kényan, et sa deuxième acquisition en Afrique de l’Est, après le rachat de l’hôtel Umubano à Kigali, au Rwanda.
Après le feu vert de la Competition Authority of Kenya, la firme procèdera, d’ici la fin de l’année en cours, à la rénovation de l’établissement kényan opérationnel depuis 2010. Cette rénovation vise à « repositionner le Crowne Plaza pour attirer davantage de voyageurs internationaux et le faire entrer dans un nouveau cycle de vie qui contribuera à la revitalisation du secteur hôtelier kényan après la covid-19 », avait indiqué Olivier Granet, associé et directeur général de Kasada, en juillet dernier.
Via cette opération, la firme d’investissement cherche non seulement à diversifier son portefeuille mais aussi à offrir des rendements attrayants à ses investisseurs. Lancée en 2018 avec le soutien du fonds souverain de l’Etat du Qatar et du groupe hôtelier français Accor, elle est désormais présente dans huit pays en Afrique, avec un portefeuille diversifié d’actifs hôteliers.
Chamberline Moko
Lire aussi:
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link
