
(Agence Ecofin) – Les fintechs ont été les entreprises les plus financées en Afrique en 2022. Toutefois, les investissements réalisés dans ces structures ont chuté de 28 % en glissement annuel. A l’inverse, les start-up de l’énergie, de la logistique et de la vente au détail ont affiché des hausses importantes en termes de levée de fonds.
Une fois encore, les fintechs ont levé le plus de financements en Afrique en 2022. Les investisseurs, nationaux et étrangers, ont engagé 1,8 milliard $ dans ces entreprises technologiques de services financiers. Ce montant, qui dépasse de loin celui levé par les autres types de start-up sur le continent (edtech, agritech, insurtech…), est néanmoins en baisse en glissement annuel.
« En 2021, la fintech représentait la majorité des fonds levés sur le continent, avec une part en constante progression. Pourtant, en 2022, le montant investi dans les fintechs en Afrique a atteint 1,8 milliard $, contre 2,5 milliards $, soit une baisse de 28 % en glissement annuel », souligne la plateforme Africa the Big Deal dans un rapport publié ce mardi 17 janvier.
Tout comme les fintechs, les investissements dans des start-up spécialisées dans les secteurs de la santé et de l’éducation ont également régressé en 2022. Les healthtech africaines ont levé 132 millions $ en 2022, soit une baisse de 41 % par rapport à 2021 (226 millions $). Les edtech du continent ont, quant à elles, mobilisé 84 millions $ en 2022, contre 276 millions $ en 2021, ce qui représente une baisse de 69 % en glissement annuel.
En dehors des secteurs des finances, de la santé et de l’éducation, au sein desquels les investissements ont régressé en 2022, dans le reste des start-up africaines, les financements ont plutôt augmenté. La plus forte progression est venue du secteur de l’énergie, où les fonds investis ont plus que doublé par rapport à l’année 2021 (413 millions $ levés en 2021, contre 874 millions $ en 2022). Ensuite viennent les secteurs de la logistique et de la vente au détail, qui ont respectivement affiché une croissance annuelle de 38 % et de 44 %.
Chamberline MOKO
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Agence Ecofin
Source link