(Agence Ecofin) – Avec un total de 1,17 milliard $ levés en 2022, les start-up climatiques africaines suscitent l’intérêt des investisseurs. Le capital-risqueur Equator dont l’activité est orientée vers ces entreprises prévoit d’en soutenir une quinzaine sur le continent, au cours des prochaines années.
Equator, une société de capital-risque spécialisée dans les technologies climatiques et axée sur l’Afrique subsaharienne, a clôturé son premier fonds avec des engagements de 40 millions $. La firme présente en Afrique à travers ses représentations au Kenya et au Nigeria, utilisera les capitaux levés pour financer des entreprises de technologies climatiques en phase d’amorçage et de série A, axées sur l’Afrique subsaharienne.
Equator espère réaliser jusqu’à 15 investissements au cours du cycle de vie de son fonds.
« Au stade de l’amorçage et de la série A, il y a une pénurie de capitaux et d’investisseurs institutionnels qui soutiennent les entreprises à ce stade de leur cycle de vie et de leur parcours. Nous espérons qu’en investissant à ces stades, nous pourrons mobiliser des capitaux auprès de grands fonds régionaux et mondiaux pour les technologies climatiques et entreprises enthousiasmées par le secteur », a commenté Nijhad Jamal (photo, à gauche), associé directeur d’Equator
En 2022, les start-up climatiques africaines ont levé un total de 1,17 milliard $. Selon l’accélérateur d’entreprises technologiques africain AfricArena, ces 1,17 milliard $ représentaient 18 % du total des financements mobilisés par l’ensemble des start-up africaines l’année dernière. Sur le total des levées de fonds opérées par les start-up africaines spécialisées dans les technologies climatiques en 2022, 863 millions $ ont été récoltés grâce à des financements en capital.
Equator, à travers cette récente mobilisation de fonds, soutiendra des start-up qui construisent des solutions autour de l’énergie renouvelable, de l’agriculture et de la mobilité pour faire face à l’impact du changement climatique en Afrique. La firme participera également à des investissements de 10 millions $ ou moins, sur le continent.
Chamberline MOKO
Lire aussi:
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link