
(Agence Ecofin) – Ce véhicule d’investissement qui cherche à lever un total de 250 millions $ ambitionne d’investir dans 8 à 12 entreprises d’Afrique subsaharienne, évoluant dans des secteurs d’activité essentiels. Il fait suite aux deux précédents fonds, Metier Capital Growth I et II, levés par Metier Capital.
La Société financière internationale (SFI) a annoncé, lundi 24 juillet, la réalisation d’une prise de participation de 25 millions $ ainsi qu’un co-investissement de 15 millions $ dans le fonds de private equity Metier Capital Growth Fund III.
D’une taille cible de 250 millions $, ce fonds investira dans 8 à 12 entreprises subsahariennes de taille moyenne. Il réalisera au moins 40 % de ses opérations en dehors de l’Afrique du Sud, en ciblant plus spécifiquement l’Afrique australe et orientale. Les secteurs visés par le fonds sont ceux des télécommunications, des biens de consommation, des soins de santé, des services financiers, de l’industrie manufacturière ainsi que des infrastructures et de l’énergie.
Selon Sérgio Pimenta, vice-président de la SFI pour l’Afrique, cet investissement réalisé dans le Growth Fund III de Metier Capital facilitera l’accès à des capitaux privés qui catalyseront la création de valeur pour des entreprises africaine et contribuera à soutenir le secteur du capital-investissement en Afrique.
Le fonds Metier Capital Growth III fait suite à deux précédents fonds levés par le gestionnaire Metier Capital. Il s’agit de Metier Capital Growth Fund I, clôturé en fin 2007 avec un capital de 3,5 milliards de rands (198,7 millions $). Le fonds a réalisé 8 investissements, principalement en Afrique du Sud. A la suite de ce véhicule, Metier Capital Growth II a été lancé. Ce fonds a investi dans 8 sociétés, dont 82 % en Afrique du Sud.
L’investissement de la SFI aidera Metier Capital Growth III à atteindre sa première clôture. Ce fonds espère attirer davantage d’investisseurs privés et institutionnels sur le continent africain où les investissements en private equity restent parmi les plus faibles des marchés émergents, représentant seulement 4 % des volumes totaux. En plus de cela, l’Afrique est souvent perçue par nombre d’investisseurs comme une région très risquée et instable.
Chamberline Moko
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by : Kelly Chamberline MOKO
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