(Agence Ecofin) – Attendue en 2021, la reprise des activités du marché boursier libyen est finalement effective. Cette réouverture après plusieurs années de crises sécuritaire et politique dans le pays devrait stimuler l’économie libyenne.
Le marché boursier libyen a rouvert le lundi 25 décembre 2023, après plus de 9 ans de fermeture, du fait de problèmes sécuritaires et politiques. Des responsables du gouvernement libyen et de la Libya’s Stock Market ont sonné la cloche pour annoncer la reprise des transactions.
Malgré la réouverture, la première journée de cotation a été marquée par une activité timide. Sur les dix sociétés cotées, seules trois ont négocié leurs actions. La bourse dispose également d’une salle des marchés à Benghazi, deuxième ville du pays, où les transactions devraient reprendre la semaine prochaine. Du fait de cette réouverture, les opérations de trading en bourse auront lieu 3 jours par semaine, et seront concentrées à Tripoli et à Benghazi.
Selon le Premier ministre du gouvernement d’union nationale, Abdulhamid al-Dbeibah (photo), la bourse est un moyen d’améliorer l’économie libyenne. « L’importance du marché boursier se traduit par le doublement du PIB et la réduction du déficit budgétaire », a-t-il indiqué. Selon lui, le succès du marché boursier libyen dépendra de la stabilité et du développement des différents secteurs de l’Etat.
Précisons que la Bourse de Libye a suspendu pendant plus de 12 mois ses activités en 2011, après la chute de l’ancien président Mouammar Kadhafi. Pendant la guerre civile entre factions armées en 2014, elle avait de nouveau fermé. Sa réouverture était annoncée en 2021.
Chamberline Moko
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link