(Agence Ecofin) – En octobre 2023, Telecom Egypt et 4iG ont signé un protocole d’accord pour construire un câble sous-marin entre l’Egypte et l’Albanie. Les deux pays veulent renforcer leurs infrastructures numériques respectives afin de répondre à la demande croissante en connectivité à haut débit.
La société publique égyptienne Telecom Egypt et la société hongroise de gestion de services informatiques 4iG ont décidé de créer une coentreprise pour mettre en œuvre leur projet de construction d’un câble sous-marin à fibre optique reliant l’Egypte à l’Albanie. L’initiative fait partie des termes de l’accord de coopération que les deux parties ont signé, la semaine dernière.
وزير الاتصالات يشهد توقيع اتفاقية بين المصرية للاتصالات ومجموعة 4iG لإنشاء أول كابل بحري يربط مصر بألبانياhttps://t.co/jThKHVPdk1#مصر #ألبانيا #الكابلات_البحرية #الإنترنت #4iG#networkinfrastructure #connectivity pic.twitter.com/ffkwcUtxx2
— وزارة الاتصالات وتكنولوجيا المعلومات- مصر (@MCIT_News) February 2, 2024
« Cette coentreprise stratégique enrichira l’expérience de nos clients et s’appuiera sur notre coopération continue pour renforcer l’industrie du câble sous-marin dans la région et au-delà, en ajoutant de nouvelles couches de diversité à notre réseau méditerranéen », a déclaré Mohamed Nasr (photo, à droite), président-directeur général de Telecom Egypt.
C’est en octobre dernier que Telecom Egypt et 4iG ont conclu un protocole d’accord de partenariat pour construire un câble sous-marin à fibre optique de haute capacité reliant l’Egypte à l’Albanie. Les détails tels que la longueur, la capacité du câble ou encore sa date de mise en œuvre n’ont pas encore été précisés. Toutefois, Belinda Balluku, vice-Première ministre albanaise, a déclaré que le coût du projet est estimé entre 100 millions d’euros et 115 millions d’euros.
La mise en place de la coentreprise devrait accélérer le lancement effectif des travaux. Une fois mis en œuvre, le nouveau câble sous-marin à fibre optique devrait permettre de renforcer les capacités respectives de l’Egypte et de l’Albanie en bande passante internationale. Cela devrait permettre à ses deux pays de répondre à la demande croissante des consommateurs en connectivité à haut débit dans un contexte de transformation numérique accélérée.
Isaac K. Kassouwi
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