(Agence Ecofin) – Du GSM à la 5G, les technologies de télécommunications ont toujours suscité le débat quant à leurs effets sur la santé des êtres humains. Le régulateur des télécommunications gambien prend des mesures pour rassurer les populations.
L’Autorité de réglementation des services publics (PURA) de la Gambie vient de s’équiper d’un outil de contrôle du rayonnement des champs électromagnétiques (CEM) avec le soutien financier de la Banque mondiale. Cette initiative est une réponse à l’inquiétude croissante du public quant aux effets négatifs possibles sur la santé de l’utilisation de téléphones mobiles et de stations de radio de base.
La PURA utilisera son nouveau matériel pour contrôler les fréquences de 100 Hz à 60 GHz, une fourchette qui implique pratiquement toutes les fréquences utilisées par les fournisseurs de services de télécommunication et de TIC dans le pays. Cela devrait permettre de renforcer la position du régulateur sur des mesures de protection robustes contre les effets des rayonnements ionisants. « L’évaluation des risques possibles pour la santé liés à l’exposition aux champs électromagnétiques est basée sur les preuves d’études et de recherches scientifiques », a déclaré Mamud Jobe, directeur général de la PURA.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la mission du régulateur en matière de protection des consommateurs et de leurs intérêts conformément à la loi de 2001 sur l’Autorité de régulation des services publics de Gambie. Le régulateur est également chargé d’assurer et de fournir des informations sur le rayonnement électromagnétique des téléphones mobiles et de leurs stations de base radio afin de résoudre les problèmes qui peuvent alarmer inutilement et paniquer le grand public.
Par ailleurs, la PURA déclare avoir déjà élaboré des lignes directrices pour le rayonnement électromagnétique provenant des fournisseurs de services d’électricité et de télécommunications dans le pays. Ces directives sont conformes à celles de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) en ce qui concerne les limites d’exposition sûres pour la santé.
Isaac K. Kassouwi
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by : Agence Ecofin
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